L’heure de partir va arriver

Dubrovnik

Nous étions prudents à l’aube du premier confinement, nous voilà peut-être un peu trop pressés en donnant ce conseil, mais… Il est temps de repartir.

Il est temps, au moins, de préparer ses prochains départs. Oubliés les oiseaux de mauvais augure qui annoncent un nouveau reconfinement. Prudence reste mère de sûreté mais vivre prudemment de nouvelles aventures est possible !

Le monde est presque entièrement rouge. Ce n’est pas le Père Noël qui est responsable de cette situation mais les mesures restrictives qui empêchent les Français d’y aller le plus simplement du monde. Il faut se faire à l’idée que seul le vaccin redonnera du vert à notre planète de voyageurs… Et encore, si tous les plans pour le distribuer fonctionnent correctement.

Bonnes fêtes de fin d’année

Qu’importe ! On peut se faire plaisir à deux trois heures d’avion en allant flâner dans les souks de Marrakech, sur les plages des Canaries, en Martinique comme en Guadeloupe… Et la liste est encore assez longue. Certes pour réussir son départ, il faudra la plupart du temps se faire tester, le prouver et être prudent une fois sur place. Tout cela demande des efforts mais l’ivresse est au bout du séjour. Un chiffre, un seul pour se rassurer : 4%. C’est, selon l’OMS, le taux de risque de contamination en avion. Un autre, pour le fun : 88% des voyageurs de l’été dernier n’ont pas été contaminés lors de leurs séjours balnéaires.

Bien évidemment, des pays plus à risques sont à éviter. Impensable d’aller aux Etats-Unis ou au Brésil, où la contamination est forte. Idem pour l’Inde. Mais le Mexique, Cuba, la République Dominicaine ou les Maldives sont des destinations fréquentables… Toujours avec le fameux test. Et en étant près à passer un autre test à l’aéroport, au retour en France.

Malgré toutes ces contraintes, pour notre génération, ces instants de liberté sont nécessaires. Vivre, pleinement et sans peur, voilà la devise qui doit nous animer. Sans tomber dans un « Après moi le déluge » on peut se dire, comme Félix Leclerc, que le bonheur est toujours au bout du chemin.

Marcel Lévy

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